De plus en plus de smartphones possèdent des puces neuronales
A travers la Loi de Moore, les techniciens et hautement qualifiés en informatique ont exprimé que la capacité de nos ordinateurs et consorts double tous les 2 ans environ.
Toute chose a quand même ses limites, et le sommet devrait être atteint vers les années 2018-2022, c’est-à-dire que les capacités techniques de nos puces sont bornées et requièrent une nouvelle génération, du genre puces neuronales. Les téléphones mobiles sont concernés par cette limite, sinon par cette humeur des chercheurs à franchir la limite des puces. Les puces neuronales sont au tableau et les smartphones sont choisis pour l’application.
A quoi consistent exactement les puces neuronales ?
D’une manière simplifiée, les puces neuronales désignent des puces qui puissent reproduire le fonctionnent cérébral de l’être humain. A cet effet, ces puces neuronales posées sur un smartphone dépassent largement la densité des puces classiques et elles permettent des tâches que les ordinateurs les plus sophistiqués actuellement ne peuvent pas réaliser.
Ces puces neuronales ont l’aptitude de reconnaissance visuelle et vocale, la disposition d’apprentissage, de prédiction et d’auto-régénération. C’est quasi-incroyable, surtout pour les novices. Une des meilleures qualités des puces neuronales est sa faible consommation énergétique. Bref, les puces neuronales représentent plusieurs atouts au service des smartphones et de l’homme qui l’utilise.
Les fabricants de smartphones se battent pour être leader des puces neuronales
Cette idée de puces neuronales a vu le jour vers l’année 2000, désignant alors le début de la guerre de cerveaux. Il s’agit ici d’énumérer les grands fabricants de smartphones qui participent à la cette guerre. Le plus célèbre mais relativement modeste dans le temps était Qualcomm avec sa puce neuronale nommée Zeuroth de nationalité américaine (2013). Puis, Huawei et Apple s’inscrivent au premier rang, et respectivement, ont sorti une phablette haut de gamme Mate 10 et l’iPhone X, avec leurs puces neuronales dénommées Kirin 970 et A11 (2017). De son côté, Intel a produit sa propre puce neuronale nommée Loihi plus proche de l’architecture neuronale du cerveau humain et disposant de la capacité d’auto-apprentissage. Il ne faut jamais oublier les efforts de Google, d’IBM et non moins de Facebook pour contribuer au lancement des puces neuronales, aussi bien sur les ordinateurs que sur les smartphones.